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Une famille d’un maître verrier italien vient s’installer en Forêt de Chaux vers 1630. Le fils Pietro façonne des boules de verre qui contiennent ses rêves colorés. La guerre de conquête de la Franche-Comté fera fuir Pietro. Ses rêves le rejoindront-t-ils un jour ?
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Rencontre d’un petit cerisier français chétif, maladif avec un jeune japonais « différent », en souffrance lui aussi. Leurs regards échangés bouleverseront leurs existences et cette histoire transportera les lecteurs jusqu’au japon, le pays où les cerisiers sont rois.
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Ce nouvel opus intitulé « Le grand voyage » raconte le périple d’un petit chêne qui a voulu voir les montagnes et la mer…Une belle invitation à le suivre dans ce parcours initiatique et pédagogique car les pages de complément situées à la fin du livre recèlent bien des surprises !
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Un hêtre et un frêne, géants de la forêt, créent en dessous d’eux une ombre épaisse, généreuse. Un petit chêne vivant en dessous d’eux en souffre terriblement. Trois sorcières réaliseront les vœux des deux géants vaniteux tandis que le petit chêne voudra rester comme il est. La transformation des deux arbres attirera la convoitise des hommes et provoquera leur disparition. Le petit chêne pourra enfin accéder à la lumière et devenir le roi des arbres.
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Un petit troglodyte, petit oiseau forestier appelé localement « billecul », aime son arbre protecteur. La foudre enflammera l’une de ses branches et il faudra la farouche volonté du petit oiseau et l’aide de ses amis pour le sauver des flammes.
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Un petit pommier, un arbre qui vit autour des maisons des hommes, veut entrer dans la grande forêt de Chaux, le pays des chênes, des hêtres, des bouleaux et des trembles, de tous les arbres libres et sauvages. Il faudra un stratagème du petit pommier et l’amitié d’un petit bouleau pour qu’il puisse parvenir jusqu'au centre de la forêt, à l’endroit où les arbres « écoutent leur cœur battre ».
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Rechercher dans la langue française tous les mots ou expressions contenant la sonorité « ser », sélectionner ceux qui pouvaient être illustrés au deuxième degré, telle est la démarche de l’auteur qui rend ainsi hommage-en forme de clin d’œil- au plus grand mammifère de nos forêts qu’il a accompagné pendant vingt cinq années de sa vie.
